Le SIISNEQ veut « que ça change maintenant »

Écrit par le 4 novembre 2020

La présidente du SIISNEQ Nathalie Savard estime que les négociations ont peu avancées depuis un an. – Photo archives CJTB

Le Syndicat des infirmières et infirmiers du nord-est québécois (SIISNEQ) dénonce le manque d’ouverture de l’employeur. En négociations nationales depuis un an, le syndicat a décidé de poser un geste de visibilité mercredi en installant des banderoles portant le message « En santé, faut que ça change maintenant! » à proximité des différents centres régionaux de santé (anciens CSSS).

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Un an après le premier anniversaire du dépôt des demandes du SIISNEQ dans le cadre des négociations pour le renouvellement de la convention collective, la présidente du syndicat Nathalie Savard estime que les avancées sont plutôt minces.

« La négociation nationale est compliquée. Il n’y a pas grand-chose qui a avancé. (…) Le gouvernement nous a interpellés en disant qu’il veut régler les négociations, mais en ne nous offrant rien à part des petits comités », lance Nathalie Savard.

Le syndicat estime que la partie patronale demeure « fermée à toute mesure visant à améliorer l’organisation du travail ainsi que la santé et la sécurité du personnel ».

Selon Nathalie Savard, l’objectif du SIISNEQ est de travailler au niveau de la rétention du personnel du personnel et de diminuer le temps supplémentaire que doit effectuer le personnel de la santé.

La présidente du syndicat assure que son organisation à des idées et des solutions à offrir.

Plus écouter l’entrevue complète réalisée avec Nathalie Savard, présidente du SIISNEQ, cliquer ci-bas.

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