Regard sur Tête-à-la-Baleine

Tête-à-la-Baleine est un petit village de pêcheur de la Basse-Côte-Nord, un des seuls dont la population est francophone. C’est un endroit unique, où la vie est composée de nature, de grands espaces, de la mer, du silence, du large, de la pêche et d’une qualité de vie sans égale.

Carte graphique du village de Tête-à-la-Baleine, par Emilie Pedneault

Carte réalisée dans le cadre du projet balado «Raconte-moi notre histoire». Cette carte graphique du village, réalisée par l’artiste nord-côtière Emilie Pedneault, est disponible sur demande en format imprimé 11×17. Contactez la radio par téléphone ou par courriel pour plus d’information.

La vie du village a grandement évoluée depuis sa création, mais l’histoire et les traditions sont toujours ancrées dans la vie quotidienne des Baleinois. Village de terre ferme l’hiver, et village des îles l’été, ça en fait toute sa particularité. Dans une si petite communauté, l’entraide est un des piliers de la vie de tous les jours, et l’importance de se serrer les coudes prend tout son sens. Tête-à-la-Baleine, tout comme la Basse-Côte-Nord en générale, a été source d’inspiration pour de nombreux.se réalisateurs.trices et documentaristes, avides d’en connaître plus à propos du mode de vie unique des Coasters. Voici quelques-unes de ces oeuvres, qui permettent de mieux cerner le quotidien des gens d’ici. 

Tête-à-la-Baleine, René Bonnière et Pierre Perrault, 1960 : 

Avant le jour, Lucie Lambert, 1999 :

Les Coasters, Nicolas-Alexandre Tremblay et Stéphane Trottier, 2018 :

Prisonniers du climat, Maxime Corneau et Julien Robert, 2021 :

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